WWH 5
Wi Watt’Heure s’écoute et se regarde. Dans ce numéro 5, quatre artistes parlent la même langue : l’italien. Trois parlent (aussi) le français, une est traduite. Deux vivent en Italie, à Florence, deux vivent en France à Paris.
Ce qui est questionné, c’est la contingence, et la surface.
Les entretiens ont été réalisés de façon très différente, rien ne les rassemble sauf ce désir de rester « à la surface », et l’appartenance de ces artistes à la société italienne, une société marquée par l’ère Berlusconi.
Je connaissais à peine le travail de deux d’entre elles, mais un angle de leur pratique m’avait interpellée. Le nombre de documents et la longueur inégal des propos n’a pas de signification particulière. Ce numéro 5 de wi watt’heure se visite comme une installation.
Antonella Bussanich est plasticienne, Claudia Triozzi est chorégraphe, Rosaria Lo Russo est poétesse, Valeria Guiga est interprète chorégraphique et notatrice Laban. Toutes les quatre travaillent dans le champ des arts contemporains, non institutionnels.
C’est Noël place Saint Marc
Journal télévisé de TV7 du 25 mars 2012
Antonella Bussanich : dessin
« 20 ans de régression sociale … »
Anna Sokolof, chorégraphe américaine évoquée par Valeria Guiga
Entremêlement 2
Antonella Bussanich : COPPIE
Claudia Triozzi « Pour une thèse vivante », entretien
Claudia Triozzi « Pour une thèse vivante¨ création 2011 à la Ménagerie de Verre
Photo © Olivier Charlot
Valeria
Rosaria, lecture
Antonella
Valeria « Si je retournais à Naples … »
Rosaria Lo Russo
Antonella Bussanich : « source »
Antonella Bussanich
Claudia Triozzi : claudia.triozzi(at)yahoo.fr
Antonella Bussanich : antonellabussanich(at)yahoo.fr
Rosaria Lo Russo : femminafonica(at)gmail.com
Valeria Guiga : valegiuga(at)wanadoo.fr
Pour toutes informations concernant wi watt’heure : carole.rieussec (at)free.fr